Boucles d'oreilles avec strass Swarovski, inspirées du tableau de Berthe Morisot "Jeune femme en toilette de bal" (1879).
Nul mieux que Paul Mantz, l'un des premiers critiques à remarquer Morisot, n'a parlé de l'artiste : "Madame Morisot excelle au mélange de pâleurs fines. Elle peint le portrait d'une femme décolletée assise dans un jardin. Les chairs sont blondes, des fleurs, vagues, mettent dans les verdures grises du fond de légères notes d'un lilas rosé ; tout flotte, rien ne formule, le ton lui-même hésite indécis, et il y a là une finesse fragonardienne, avec le sentiment d'un monde chimérique où les couleurs n'ont pas encore pris leur accent, où les tons indistincts ne savent pas qu'ils auront plus tard une individualité et un état civil."
Le nom du modèle reste inconnu.
Nul mieux que Paul Mantz, l'un des premiers critiques à remarquer Morisot, n'a parlé de l'artiste : "Madame Morisot excelle au mélange de pâleurs fines. Elle peint le portrait d'une femme décolletée assise dans un jardin. Les chairs sont blondes, des fleurs, vagues, mettent dans les verdures grises du fond de légères notes d'un lilas rosé ; tout flotte, rien ne formule, le ton lui-même hésite indécis, et il y a là une finesse fragonardienne, avec le sentiment d'un monde chimérique où les couleurs n'ont pas encore pris leur accent, où les tons indistincts ne savent pas qu'ils auront plus tard une individualité et un état civil."
Le nom du modèle reste inconnu.