Cette parure composée d'une bague, d'un collier et de boucles d'oreilles est inspirée du portrait d'Hortense de Beauharnais, reine de Hollande avec son fils, le prince royal Gérard Peint par François Pascal Simon, Baron (1770-1837). Huile sur toile, 1807 au Musée national du château de Fontainebleau.
François Gérard, élève de Jacques-Louis David, est l'un des peintres les plus recherchés de son temps. Les commandes passées par Bonaparte à partir de 1800 lui ouvrent la voie d'une carrière officielle. Il est surnommé « le peintre des rois et le roi des peintres ». Son succès s'étend aux familles régnantes d'Europe qui souhaitent être immortalisées par ses pinceaux. Fille de Joséphine de Beauharnais, Hortense épouse Louis Bonaparte, frère cadet du Premier Consul, en 1802. Elle donne naissance à trois enfants, dont le futur Napoléon III.
Dans ce portrait, Hortense apparait pour la première fois en reine de Hollande, tenant par la main sont deuxième fils, Napoléon Louis. Ce grand tableau se distingue par l'élégance de la pose, la douceur de la mère et la timidité du fils. Empreint de l'esprit des grandes peintures du XVIIIe siècle, il souligne la maitrise du peintre dans le rendu des tissus, le chatoiement des broderies et l'éclat des joyaux.
François Gérard, élève de Jacques-Louis David, est l'un des peintres les plus recherchés de son temps. Les commandes passées par Bonaparte à partir de 1800 lui ouvrent la voie d'une carrière officielle. Il est surnommé « le peintre des rois et le roi des peintres ». Son succès s'étend aux familles régnantes d'Europe qui souhaitent être immortalisées par ses pinceaux. Fille de Joséphine de Beauharnais, Hortense épouse Louis Bonaparte, frère cadet du Premier Consul, en 1802. Elle donne naissance à trois enfants, dont le futur Napoléon III.
Dans ce portrait, Hortense apparait pour la première fois en reine de Hollande, tenant par la main sont deuxième fils, Napoléon Louis. Ce grand tableau se distingue par l'élégance de la pose, la douceur de la mère et la timidité du fils. Empreint de l'esprit des grandes peintures du XVIIIe siècle, il souligne la maitrise du peintre dans le rendu des tissus, le chatoiement des broderies et l'éclat des joyaux.